Inquiétudes et Secrets autour de la Santé de la Famille Royale Britannique

Kate Middleton, conjectures sans fin, ombres sombres impossibles à vérifier et révélations de sources anonymes (non confirmées, mais ni démenties ni réfutables) continuent de s'accumuler sur la famille royale britannique : en premier lieu sur l'évolution du cancer, de nature imprécise, diagnostiqué ces derniers mois successivement chez le roi Charles III, âgé de 75 ans, ainsi que chez la princesse de Galles, Catherine, 42 ans, épouse de l'héritier du trône William. Les dernières rumeurs ne proviennent pas pour une fois des tabloïds de la presse populaire de l'île ou du sensationnalisme aux teintes noires des sites de potins américains, mais de l'Italie. Du magazine Gente en kiosque demain, en particulier, selon lequel - annoncé avec des titres accrocheurs aujourd'hui - les conditions du souverain seraient nettement plus alarmantes par rapport aux communiqués ou aux mêmes images officielles. Tandis que celles de Catherine, familièrement appelée Kate par l'opinion publique mondiale, restent enveloppées dans le brouillard : derrière un épais voile de discrétion justifié par des raisons de «privacy», près de 4 mois après la mystérieuse opération de l'abdomen subie par la princesse dans un département de la prestigieuse London Clinic, hôpital privé de l'élite londonienne. Opération à laquelle aurait participé en première ligne, écrit le magazine italien, une équipe de médecins compatriotes envoyés par le Polyclinique Gemelli de Rome. Fidèle à la stricte règle du 'never complain, never explain' ('jamais se plaindre, jamais expliquer'), héritée du long règne d'Élisabeth II, bien qu'avec une touche de transparence en plus depuis l'annonce récente de la maladie de Charles, Buckingham Palace n'a bien sûr commenté en aucune manière ces rumeurs. Ignorées pour l'instant aussi par les journaux et les télévisions mainstream de l'autre côté de la Manche, parmi lesquels, cependant, ces derniers temps, il n'a pas manqué de questions et de prudences sur la situation clinique du monarque régnant et de la future reine. Gente de toute façon persiste et attribue ses informations à des sources jugées dignes de confiance. Concernant l'opération chirurgicale de Kate, le magazine affirme avoir appris qu'elle a été «réalisée par une équipe de médecins italiens du Polyclinique Gemelli de Rome». Chose que ni l'hôpital romain ni la London Clinic ne peuvent certifier (ou nier) publiquement pour des obligations évidentes de protection des patients, se retranchant derrière l'inévitable «no comment». Et qui n'a jamais émergé des communiqués du palais, comme du tam-tam des médias britanniques, au-delà de la bien connue présence de spécialistes italiens dans de nombreuses structures sanitaires du Royaume ou de l'échange constant entre les institutions médicales ou scientifiques de l'île et de la péninsule. Quant aux conditions du roi Charles, Gente prétend avoir recueilli des confidences de «sources proches» de la Royal Family en contraste avec «les assurances du communiqué de Buckingham Palace qui la semaine passée avait annoncé le retour aux engagements publics» du souverain. Retour qui s'est effectivement réalisé mardi avec une première visite à un hôpital et à un centre oncologique de Londres, effectuée symboliquement par Charles en compagnie de la reine Camilla, au cours de laquelle le monarque s'est montré souriant. Et en forme apparemment convenable. Une image résultant de progrès thérapeutiques crédités par les médecins de la cour comme «très encourageants» sur le front des soins qui continuent néanmoins, contrairement au secret qui continue de dominer sur le déroulement de la chimiothérapie en cours depuis deux mois pour Kate, totalement absente des projecteurs depuis Noël 2023. Mais qui, selon le magazine, cacherait en coulisses une réalité beaucoup plus inquiétante également pour Charles : marquée en privé par le calvaire d'un roi «affaibli par des douleurs aux os» qui ne lui laisseraient aucun répit. Et même «gravissime», selon l'accroche qui incite à la lecture de l'article de demain. Craintes et cauchemars que seuls les mois à venir, chargés d'engagements à confirmer au cas par cas, pourront dissiper ou concrétiser plus ou moins dramatiquement. Reste en attendant inconnue toute date sur un potentiel retour en public de la princesse de Galles âgée de 42 ans, touchée par un cancer de nature non spécifiée. Kate l'avait rendu public dans une vidéo émouvante à la nation rendue publique fin mars 2024, après s'être soumise à une délicate opération de l'abdomen. Selon les dernières informations, désormais datées de plusieurs semaines, rien ne pourra être confirmé officiellement. Dans les prochains mois, à l'occasion de chaque événement où, les années précédentes, la présence de Middleton n'a jamais manqué, la princesse consultera ses médecins à la cour et décidera la marche à suivre le jour même. À risque par exemple sa présence au tournoi de tennis de Wimbledon (prévu du 1er au 14 juillet), dont elle est la marraine. Et elle pourrait être la grande absente non seulement à Ascot (prévu à mi-juin), qui voit chaque année toute la Royal Family se réunir dans les tribunes pour suivre avec enthousiasme les courses hippiques, mais aussi aux iconiques Garden Party de Buckingham Palace. Le risque de se retrouver en contact étroit avec le public est un risque que, compte tenu des traitements auxquels elle est soumise en cette période et de la probable baisse des défenses immunitaires, la princesse ne voudra pas courir. En doute également la parade du 8 juin, le traditionnel Trooping The Colour, et la sortie habituelle de la Royal Family sur le balcon de Buckingham Palace.